Le mot de la fin
Domestique. Ce mot passerait aujourd’hui pour une atteinte aux droits de l’homme. Autrefois, pourtant, cela se disait comme ça. Les campagnes helvétiques comptaient leur lot de journaliers, manœuvres, valets, serviteurs et servantes. Des femmes pouvaient être bonnes sans que cela prête à confusion. Et chaque ferme, ou presque, possédait son domestique.
On imagine mal ces temps...
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