Le mot de la fin
Le plafond vient à nouveau de s’effondrer sur plusieurs rangées de vieux fauteuils recouverts de velours rouge. La vénérable salle de quartier, symbole du cinéma de mes rêves, a subi l’autre jour de sérieux dégâts. Un maître enchanteur des séances du samedi soir s’en est allé rejoindre les immortels de l’écran large, là-bas très loin, trop...
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