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Le mot de la fin

Chronique. quelques vœux d’un benêt idéaliste

Notre chroniqueur Marc Aebischer rêve de paix et d'harmonie en 2024. Mais se rend bien compte qu'il peinera à être entendu

Du cœur, on en aurait davantage dans un monde dirigé par des âmes féminines. © Bart LaRue/Unsplash

28 décembre 2023 à 13:00

Dans la candeur de l’entre-fêtes et animé d’une audace utopiste, je souhaite qu’en 2024, les hommes (j’entends ici les personnes à zguègue) daignent mettre leur violence en sourdine, leur sentiment d’omnipotence et leur soif de conquêtes sous l’éteignoir. Car la quasi-totalité des attaques abjectes de terroristes, d’envahisseurs ou de groupes bellicistes sont perpétrées par des hommes. J’ai parfois honte de...

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