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Les chroniques d'Angélique

Neuf voyelles et treize consonnes

Consonne, consonne, voyelle… Angélique Eggenschwiler.

28 août 2017 à 07:00

Le mot de la fin

J’ai un patronyme encombrant: Angélique Eggenschwiler, vingt-deux lettres, rien que ça! A ce stade, on ne s’appelle plus, on s’épelle. Neuf voyelles pour dire vingt-quatre ans d’existence et treize consonnes pour leur donner un peu de contenu. C’est insensé. Qui a besoin de treize consonnes pour exister?

Ça prend de la place. Je prends de la place....

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