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Le mot de la fin

Mon combat maternel antisexiste

Oui, un garçon, ça peut aimer les poupées. Ne laissez pas cette garce de société vous convaincre du contraire.

14 juin 2019 à 04:01

Le mot de la fin

Je vais vous faire une confidence: je suis l’heureuse maman de deux suppôts du patriarcat. Le premier a trois ans et c’est un exhibitionniste invétéré, le genre qui aime courir dans l’appartement minipénis au vent. Le second à onze mois et c’est un esclavagiste notoire, le style qui réduit sa génitrice au statut de réserve alimentaire....

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