Le mot de la fin
L’autre soir, peu après être descendu du train, je m’aperçois que je n’ai plus mon téléphone portable. Le souffle court, je vide mes poches, retourne mon sac et balance son contenu sur l’asphalte. Un petit filet de sueur se met à couler dans mon dos.
Malheur! Je viens de perdre l’outil qui fait à peu près tout...
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