Le mot de la fin
C’est fatal. Sitôt que je me retrouve une coupe à la main face à des gens un brin raffinés, je patauge. Devant un costard-cravate, je me sens comme une péquenaude descendue de son alpage pour trouver un peu d’iode en plaine. L’iode pour traiter son goitre et son crétinisme avancé, s’entend.
J’ai beau lire des classiques,...
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