16 octobre 2021 à 04:01
Le mot de la fin
Pierre Desproges disait aimer «les bordeaux vieux et les auteurs morts». Et s’il est vrai que la grande littérature ne prend pas la poussière au fil des ans, qu’elle n’est soumise à nulle date de péremption, il ne faut pas oublier les vivants.
Ceux qui aujourd’hui prennent la plume peinent bien souvent à se faire connaître. Si...
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