8 septembre 2021 à 04:01
Le mot de la fin
Sans doute qu’il se serait bien marré, Belmondo, devant les exercices de contorsion des critiques académiques, ces tenants d’un supposé grand cinéma qui ne gardaient de lui que les Godard des premières années et qui ne lui pardonnaient pas de s’être vautré dans le populaire. Ces faiseurs d’opinons ne pouvaient pas blairer Jean-Paul Belmondo, et...
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