Le mot de la fin
On n’était pas confiné mais on ne bougeait pas trop du week-end. On avait seize ans et un immense besoin de temps pour ne rien faire. Sitôt que des parents avaient déserté les lieux, on se pointait en boguet, et on se vautrait dans le salon avec des pizzas et de quoi boire. Cette fois-là, c’était...
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