Le mot de la fin
Il n’y a pas de fatalité au malheur. Parfois, une nouvelle réjouissante vient nous rappeler cette vérité. Ce genre de nouvelle se mérite, il faut la chercher plutôt dans la colonne des brèves qu’à la une des médias. Et il y a peu, j’en ai trouvé une qui m’a refilé la pêche.
Sachez-le: pour la première fois...
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