Le mot de la fin
La première fois que je l’ai vu il mourait de faim à l’orée d’un champ de maïs, à plusieurs kilomètres, une autoroute et quelques années-lumière d’une gamelle de croquettes.
Il s’est laissé approcher. Difficile de distinguer ses yeux sous la boue, la gale et le désespoir. Cinq secondes plus tard, il détalait dans le champ poursuivi...
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