Le mot de la fin
Je crois vous avoir déjà parlé de Ferdinand Cheval. Ce modeste facteur a passé sa vie à empiler des cailloux dans son jardin pour bâtir son «palais idéal». Palais qui un siècle plus tard draine des millions de visiteurs au pied de ce chef-d’œuvre à la frontière du génie et de la démence.
Cette belle histoire a...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus