Le mot de la fin
A priori, il ne me voulait pas de mal, le pauvre a simplement la tête d’un tueur en série et le pick-up qui va avec. N’empêche, je dois vous avouer que sur le moment je ne faisais pas la maligne.
Plantons le décor: vous vous promenez seule dans un marécage désert entre l’autoroute et la zone industrielle...
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