28 septembre 2017 à 07:00
Le mot de la fin
L’ambiance est détendue, la salle à moitié pleine. Pleine d’ivrognes matinaux et de réveils tardifs au café double crème. Un vétéran lit la feuille à travers deux loupes opaques, une écolière couvre un cahier de fractions obscures. Je commande un café-deux-crèmes quand elle entre à grand fracas.
Elle? La cinquantaine grisonnante, traits tirés mais tirée à quatre...
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