27 septembre 2021 à 04:01
Le mot de la fin
Gamin, j’avais un acteur préféré et je n’en démordais pas. C’était Bourvil. Le tendre, le triste, l’étincelant, l’hilarant Bourvil.
Le vendredi, nous recevions le programme télévisé de la semaine suivante, et j’épluchais les grilles de la Suisse romande et des trois chaînes françaises dans l’espoir d’y trouver le nom de mon acteur fétiche.
Mon enthousiasme me valait...
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