Le mot de la fin
Juillet, je te hais, avec tes jours interminables qui font de Fribourg ce Mordor d’asphalte ardent sur lequel rissole le pauvre ouvrier aux gigues cramoisies et au visage raviné à l’ultraviolet, Jeanne d’Arc des temps modernes cramée sur l’autel du dérèglement climatique. Juillet, je te maudis, toi qui achevas sans haine cette plante verte qui...
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