Le mot de la fin
Grand-mère Alice ne venait pas à la porte nous accueillir, parce qu’elle avait trop à faire dans la cuisine. Nous la retrouvions après avoir déposé nos vestes, le tablier éternellement noué autour de la taille.
Elle allait et venait à petits pas, les jambes lourdes, et se laissait parfois tomber sur son tabouret, s’accordant une pause entre...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus