Le mot de la fin
J’ai grandi la révolte à fleur de peau, à harceler mes profs de questions, à discuter, à débattre, à gueuler… Souvent en solitaire, parce que mes opinions se mariaient mal aux exigences d’un collectif, que j’avais de la peine à les glisser au chausse-pied dans une boîte de prêt à penser. Alors je m’indigne seul, mais...
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