Le mot de la fin
Genre, j’ai horreur des tics de langage, ces déferlantes qui balaient le vocabulaire, qui uniformisent la rhétorique, qui arasent l’expression. Du coup, j’ai horreur de «du coup». Les tics de langage, c’est comme les défauts chez les amis: un jour, on s’en aperçoit et on n’aperçoit plus que ça. Celui-là est radin. Celui-ci vous fait répéter...
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