Le mot de la fin
Quand j’ai lu les principaux titres hier matin, j’ai cru que le double attentat de Kaboul avait tué treize personnes, treize soldats américains. Tragique en effet, mais pas autant que les huitante-cinq victimes recensées à la mi-journée (les chiffres ont peut-être évolué depuis).
Pas treize donc, huitante-cinq parmi lesquelles septante-deux civils et nos treize G.I. qui faisaient...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus