Le mot de la fin
La cassette rembobine dans un silence de cathédrale. Sur la boîte, quatre prénoms rédigés d’une main d’enfant. L’un d’eux a déserté depuis longtemps le petit corridor dans lequel nous nous entassons aujourd’hui pour remonter le temps. Nous manipulons le lecteur avec une précaution chirurgicale de crainte que les bobines ne s’emmêlent et avec elle le fil...
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