Le mot de la fin
Il y a comme ça des œuvres qui vous restent gravées dans la chair. L’autre jour, j’ai vu La nuit juste avant les forêts, étrange monologue éructé par Bernard-Marie Koltès en 1977. Ça parle de solitude, de putes et d’ivresse. Ça parle de tout et de rien, de beaucoup de petits riens qui vous...
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