2 décembre 2017 à 05:00
Le mot de la fin
Depuis quelque temps, je passe mes journées à faire des voeux. Voeux de fortune, de santé ou de bonheur, voeux de prospérité pour mes amis, ma famille ou les plus démunis. A force, je ne sais plus pour qui prier.
C’est que, voyez-vous, j’ai emménagé il y a peu sur la route migratoire des coccinelles. Un relai...
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