Le mot de la fin
Je suis Dieu. Suspendu au rebord du ciel, guettant la vie en contrebas. Une clairière terreuse troue la canopée, striée de troncs morts, comme mal rangée. C’est drôle, d’ici. La forêt écharnée ne se doute pas qu’on la regarde. Personne.
Soudain, une présence. Tremblement minuscule qui progresse à pas décidés, hésitants, à nouveau décidés, longe la lisière,...
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