Le mot de la fin
Je viens de terminer la lecture des Roses fauves, roman époustouflant de Carole Martinez. Ça parle de souvenirs encombrants, de femmes fantômes qui peuplent la mémoire des vivants et «s’octroient le droit de les habiter comme des maisons vides».
C’est plein de boiteuses et de fulgurances, une histoire de mémoire andalouse qui prend la poussière...
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