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Le mot de la fin

Ces deux Vully qui m’ont bercé

Le joli Vully d’aujourd’hui: notre chroniqueur y a grandi en un temps où il y en avait deux, l’un catholique et l’autre protestant.

25 octobre 2017 à 07:00

Le mot de la fin

S’il est une hauteur qui fait battre mon cœur un peu plus fort toutes les fois que je m’en approche, c’est bien ce Mont-Vully, helvète d’oppidum et romain de vignobles, belvédère au sommet duquel j’ai tant contemplé les trois Majestés de l’Oberland bernois – Eiger, Mönch et Jungfrau.

J’ose y revendiquer mon appartenance, même si je n’y...

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