Le mot de la fin
Il est sept heures et ça bouge dans la chambre. C’est ainsi, les gamines sont plus matinales le week-end qu’à l’appel de l’école. Le jour s’est à peine glissé entre les lamelles du store qu’elles se lèvent si vite qu’on les croirait montées sur ressorts.
«On joue à quoi?» Elles courent à travers l’appartement pour chercher ce...
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