Le mot de la fin
Cette chronique ne vous regarde pas, vous les intrépides fiers-à-bras, hardis héros descendant tout droit du chevalier Bayard sans peur et sans reproche, braves qui ne tremblez que de fièvre ou de froid. Bienvenue par contre à vous mes sœurs et frères de frayeur, couards, chiards, pétochards, paniquelets, poules bien mouillées et clones du mal nommé...
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