19 avril 2018 à 04:01
Le mot de la fin
Sous le pavé et le bitume, Fribourg a ses crâneuses, ces artères clinquantes et tonitruantes qui n’ont cure des petits sentiers anonymes. Il y a la rue de Romont, la reine du bal avec ses terrasses chaleureuses s’animant d’une douce frénésie dès les premiers rayons. La rue de Morat, enlacée de vieilles pierres, avec sa...
Ce contenu provient de notre ancien site web. Il est possible que sa mise en page ne soit pas idéale. En savoir plus