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Le mot de la fin

A Franz Weber, la patrie reconnaissante


6 avril 2019 à 04:01

Le mot de la fin

Franz Weber aimait la Suisse, ce que les bons Suisses ne lui pardonnaient pas. Le Nouvelliste a sorti une image de ses archives: nous sommes en 1976, à la Croix-de-Cœur, on voit Franz Weber et Rodolphe Tissières, le promoteur de Verbier, s’empoigner sous l’œil goguenard de quelques Valaisans avec pedigree. Trente-six ans plus tard,...

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