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Hockey sur glace

Jan Cadieux. «Avant, je coachais pour ne pas perdre, maintenant je coache pour gagner»

Elu entraîneur de l’année, Jan Cadieux revient sur sa première saison complète à la tête de Genève-Servette


Aurélie Yuste

Aurélie Yuste

3 avril 2023 à 19:21

Temps de lecture : 1 min

Hockey sur glace » Jan Cadieux est un entraîneur méticuleux. Un bourreau de travail à la fois soulagé et sous… tension. Car si «son» Genève-Servette s’est sorti du piège luganais en quart de finale, il n’est pas au bout de sa mission. Tenus en échec par Zoug (1-1) avant l’acte III des demi-finales des play-off qui se dispute ce mardi soir aux Vernets, les Aigles et leur coach comptent bien se hisser jusqu’en finale. Et voire plus si affinités. Jan Cadieux, qui a grandi à Fribourg et qui a mis un terme à sa carrière de joueur sous le maillot des Dragons en 2013, veut y croire. «Cette année, la fenêtre est ouverte!» nous a-t-il confié la semaine passée lors d’un entretien mené peu avant le début des demi-finales.

Cette barbe, c’est une nouveauté?

Jan Cadieux: Oui, même comme joueur, je n’ai quasiment jamais laissé pousser ma barbe, sauf la dernière année en play-off avec Gottéron. Le 99% du temps, je me rase le jour du match, car j’aime être propre et présentable pour mon travail. Cette barbe est arrivée un peu par hasard. J’ai oublié ma crème à raser à la maison. J’allais sortir pour aller en acheter quand mes assistants m’ont dit en rigolant: «Embête-toi pas avec ça, ne te rase pas aujourd’hui.» (Le soir, Genève-Servette a gagné, ndlr.) Depuis, je ne me rase pas. On verra si je le fais d’ici le prochain match.

Alors ce n’est pas définitif?

Non. En fait, je déteste avoir une barbe. Je suis tellement habitué à être rasé. En plus, je n’ai bientôt plus le droit aux câlins de mes enfants, car ils n’aiment pas. Donc on verra bien…

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