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Deux jeunes entrepreneurs ont monté leur affaire en couple

Lara Nour Wehbe et Alain Walther, en couple depuis 2016, ont lancé en commun une entreprise de revente de bijoux et un institut de beauté à Courgevaux.


Sophie Gremaud

Sophie Gremaud

19 avril 2022 à 00:24

Coup de cœur» Lara Nour Wehbe, 22 ans, et Alain Walther, 25 ans, sont en couple depuis 2016. En 2018, les deux employés de commerce de formation lancent leur premier projet commun, une entreprise de revente de bijoux, d’accessoires de maquillage et de produits de beauté. Celle-ci est baptisée Anour Shop SNC. Le couple ne les fabrique pas lui-même: «Sur conseil d’une connaissance française, nous avons choisi de travailler avec des fournisseurs basés à Lyon, qui nous vendent ces accessoires à tous les budgets et en contrôlent la qualité. Le coût des machines pour produire les bijoux est élevé et nous ne pourrions pas offrir autant de choix», explique Lara.


En 2020, à la recherche d’un travail plus créatif et indépendant, Lara, qui travaille à mi-temps comme conseillère clientèle, a suivi plusieurs formations de styliste ongulaire et de styliste du regard (pour l’extension de cils). En mars 2021, le couple ouvre à Courgevaux l’institut de beauté Pretty Nails by Anour Shop, qui offre des services d’onglerie avec du nail art et également diverses prestations pour l’embellissement du regard, dispensées par Lara et «qui sont proposées à chaque cliente en fonction de ses souhaits et de son goût», précise-t-elle. Le couple a également aménagé un espace boutique Anour Shop SNC dans l’institut, où les produits sont exposés et vendus.

«Alain fait tout le travail de l’ombre que les gens ne voient pas forcément»
Lara Nour Wehbe


Alain, qui travaille à plein temps à l’extérieur, aide son amie à gérer l’institut. «Il est mon plus grand soutien et fait tout le travail de l’ombre que les gens ne voient pas forcément», souligne la jeune femme. L’entrepreneur s’occupe, dans Anour Shop SNC, de l’administration, de la comptabilité et de la négociation avec les fournisseurs. «Je pense à l’évolution possible de notre entreprise sur le marché», ajoute Alain.

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