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Editos

Un aveu qui est risqué


5 septembre 2012 à 06:10

Que Pascal Broulis tente de se présenter en sauveur d’un projet en péril dénote d’une certaine habileté. Qu’il tente de diviser le camp des opposants entre intégristes et modérés, c’est de bonne guerre. Qu’il veuille éviter au Conseil d’Etat – comme à lui-même – de prendre une gifle en votation populaire, prouve son refus du masochisme.

En revanche, ce qui n’apparaît...

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